

CONCERTS
Avec Les Taïkologues >
Hyères 2017 - Coupe de France de Kyudo
Juvignac 2017 - Fête de la musique
Fabrègues 2018 - Japan Sun
Notre Dame de Londres 2018 - Tambourin
Castelnau-le-Lez 2018 - MJC Scène Ouverte
Avec les Ninja Taiko Kids >
Clapiers 2018 - Concert musiques japonaises
Montpellier 2018 - Festival Saperlipopette
Avec Thierry Klein >
Lunel 2019 - Japan Tsuki
Castelnau-le-Lez 2019 - Grand Marché de Noël
Avec TK et Nicolas Jankovic >
La Grande Motte 2020 - Événement privé
Avec Alex Brun et Lea Joassin >
Montpellier 2022 - Festival Eté d'amour
Avec Yann Chinette >
La Tendresse 2022 - Fête de la musique
Vendargues 2022 - Korea Japan Event
Avec Haruka Tsuchiyama >
Ombres et Lumières - Secret Place
Montpellier 2023
Avec Léa Joassin > Tokyo Market
Montpellier 2023
En solo > 2022
- Meyrargues - JapanMania
- Montpellier - TGS Montpellier
- Aimargues - Team Building pour Feely Events
- Montpellier - Festival Soul Food, Halle Tropisme (performance sur base électronique composée par Arnaud Bertrand et production).
D'où part-elle l'intention du mouvement ? Vers quel point, quel horizon, est-il dirigé ? Jouer du tambour, ce n'est pas que taper un instrument. Il s'agit de déterminer la direction de ses actions et les adresser avec assurance vers son but.
Je m'appelle Marilina Karpan.
Experte de littérature japonaise et ancienne traductrice japonais-italien, j'ai créé en 2012 l'association TaikoMama à Montpellier.
Huit ans de karaté à l'enfance me sont encore utiles aujourd'hui pour la posture et la gestuelle du taïko.
Musicalement, je remercie les cours de piano (à partir de l'âge de 4 ans) et ceux de djembé, darbouka, danse africaine, afro-haïtienne, afro-contemporaine, danse indienne odissi, tango, percussion corporelle, butoh.
Je fais de la recherche sur l’importance de la pratique musicale et de la motricité pas rapport au développement cognitif et émotionnel. J'aime beaucoup travailler avec les jeunes, et je suis heureuse de pouvoir intervenir dans les collèges et lycées, grâce au Pass Culture.
J'ai appris le taiko en Italie, Allemagne et Ecosse, avec Rita Superbi (Rome), Ljiljana Bulic (Francfort), Mugenkyo Taiko Drummers (Edimbourg). J'ai suivi des stages de groupes japonais tels que les Gocoo. J'ai fréquenté des associations japonaises de taïko lors de mes séjours à Tokyo.
Mon groupe de taïko préféré c'est les Taiko Bastards, basé à Hambourg.
L'inspiration la plus grande me vient de Nitay Zelniker, excellent artiste israélien.
Comme style, je fais un taiko européen, jeune, frais, ouvert à tout type de collaboration artistique, du didjeridoo au storytelling.
Il nous suffirait de peu, comme avoir de vrais rêves, nés de nos propres ambitions et non de la salle de réunion d'une multinationale. Nous devons apprendre à serrer à nouveau les poings, comme quand nous étions bébés, pour tenir fermement notre vie dans nos mains... et je serre mes doigts sur les baguettes.











Je suis amoureuse du taiko. Il n'y a pas deux ensembles qui se ressemblent en termes de style ou de technique,
d'attitude ou d'approche, d'âge ou de taille.
Et pourtant, sous leur diversité musicale et stylistique se cache un royaume plus profond dans lequel il n'y a aucune distinction.
Plutôt, c'est un désir primitif de traduire le fait émotionnel d'être en vie en sons et en rythmes, et d'une compulsion organique à communiquer avec les autres.
Jennifer Uyeda, 2000